Aléatoire
Pour nous, le don annuel à Centraide est une façon de répondre aux besoins actuels de notre communauté. Notre don planifié, lui, nous permettra de cristalliser cette contribution et d’en assurer la pérennité. Ainsi, nous considérons les conditions de vie des générations futures et le développement de notre grande ville de Montréal en fonction des besoins qui se feront sentir à ce moment-là. Plus jeunes, nous-mêmes avons bénéficié de généreux dons de la part de donateurs anonymes. Ce sont d’ailleurs ces dons qui ont couvert les frais de scolarité de Mitch. Pour nous, cette chance vient avec une obligation morale à laquelle il nous fait plaisir de répondre : celle de redonner aux générations futures afin que tous puissent avoir la possibilité d’atteindre leurs rêves. »
Anne-Marie Boucher et Mitch Garber
Nous traversons actuellement une période difficile qui a de grandes répercussions sur les inégalités dans le Grand Montréal. Dans ce climat d’incertitude, Centraide a été proactif et a réagi rapidement en amassant et en allouant rapidement les fonds nécessaires à des organismes performants, ciblés avec soin, pour qu’ils viennent en aide aux populations vulnérables, plus affectées par la crise. Cette agilité et cette expertise me motivent à faire un legs testamentaire à Centraide afin que les générations futures puissent aussi bénéficier de sa présence dans le Grand Montréal. Une belle façon de faire notre part pour réduire les inégalités dans la ville que l’on a aimé et où l’on a vécu, même après notre départ. »
Stéphane Paquet Vice-président, Gestion de patrimoine TD
Stéphane Paquet, ses filles, Émanuelle et Marine, et leur chien Molly
Nous avons tous les deux grandi entourés de gens qui nous ont amenés à comprendre qu’il faut rester humble dans le succès qui ne vient pas seule-ment du travail et des sacrifices qu’on y accorde, mais aussi beaucoup des circonstances; il y a une bonne part de chance dans tout ça. Adultes, nous avons découvert la philanthropie grâce à un réseau professionnel très engagé. Nous avons appris avec cet entourage à redonner mais aussi, au-delà du chèque, à développer des stratégies philanthropiques qui nous ressemblent. »
Bernard Dorval et Francine Côté
Je sais que j’ai été choyé. Je suis né dans un pays aisé, dans une famille aisée et j’ai eu des parents qui m’ont enseigné très tôt qu’il n’était pas courant de vivre à un tel niveau d’aisance. Mais ce qu’ils m’ont légué de plus précieux, c’est l’éducation et l’ouverture d’esprit, lesquelles m’ouvrent les yeux sur les inégalités qui règnent encore dans notre société. C’est pourquoi j’ai choisi de réserver à Centraide une part de ma succession. Je sais que cet héritage sera réinvesti équitablement dans la communauté selon les besoins des différentes régions, contribuant ainsi à une forme de philanthropie désintéressée qui équilibre les choses au lieu de creuser les écarts sociaux. »
Pierre Corriveau
Tout son parcours de vie l’a mené vers ça. Née dans un milieu modeste, on l’a recrutée pour mettre sur pied des terrains de jeux pour les jeunes de milieux défavorisés de sa région. Je crois que c’est là qu’est née sa volonté de s’impliquer socialement. Elle a été enseignante et travailleuse sociale, notamment dans le Centre-Sud. Elle aimait beaucoup son travail, elle était très dévouée pour les causes qui lui tenaient à cœur — les familles, les enfants et les personnes handicapées, notamment. En participant à des tournées de quartiers organisées par Centraide, elle avait pu voir la diversité des causes soutenues — ça l’avait profondément impressionnée et touchée. Je crois que ça a dû l’influencer positivement dans sa décision de faire un don testamentaire. Elle savait que Centraide était un organisme sérieux en lequel elle pouvait avoir confiance pour léguer son argent, et que la société en bénéficierait longtemps. »
Jean-Guy Bissonnette, ami de longue date de Mme Martineau
Numérotation
Pour nous, le don annuel à Centraide est une façon de répondre aux besoins actuels de notre communauté. Notre don planifié, lui, nous permettra de cristalliser cette contribution et d’en assurer la pérennité. Ainsi, nous considérons les conditions de vie des générations futures et le développement de notre grande ville de Montréal en fonction des besoins qui se feront sentir à ce moment-là. Plus jeunes, nous-mêmes avons bénéficié de généreux dons de la part de donateurs anonymes. Ce sont d’ailleurs ces dons qui ont couvert les frais de scolarité de Mitch. Pour nous, cette chance vient avec une obligation morale à laquelle il nous fait plaisir de répondre : celle de redonner aux générations futures afin que tous puissent avoir la possibilité d’atteindre leurs rêves. »
Anne-Marie Boucher et Mitch Garber
Nous traversons actuellement une période difficile qui a de grandes répercussions sur les inégalités dans le Grand Montréal. Dans ce climat d’incertitude, Centraide a été proactif et a réagi rapidement en amassant et en allouant rapidement les fonds nécessaires à des organismes performants, ciblés avec soin, pour qu’ils viennent en aide aux populations vulnérables, plus affectées par la crise. Cette agilité et cette expertise me motivent à faire un legs testamentaire à Centraide afin que les générations futures puissent aussi bénéficier de sa présence dans le Grand Montréal. Une belle façon de faire notre part pour réduire les inégalités dans la ville que l’on a aimé et où l’on a vécu, même après notre départ. »
Stéphane Paquet Vice-président, Gestion de patrimoine TD
Stéphane Paquet, ses filles, Émanuelle et Marine, et leur chien Molly
Nous avons tous les deux grandi entourés de gens qui nous ont amenés à comprendre qu’il faut rester humble dans le succès qui ne vient pas seule-ment du travail et des sacrifices qu’on y accorde, mais aussi beaucoup des circonstances; il y a une bonne part de chance dans tout ça. Adultes, nous avons découvert la philanthropie grâce à un réseau professionnel très engagé. Nous avons appris avec cet entourage à redonner mais aussi, au-delà du chèque, à développer des stratégies philanthropiques qui nous ressemblent. »
Bernard Dorval et Francine Côté
Je sais que j’ai été choyé. Je suis né dans un pays aisé, dans une famille aisée et j’ai eu des parents qui m’ont enseigné très tôt qu’il n’était pas courant de vivre à un tel niveau d’aisance. Mais ce qu’ils m’ont légué de plus précieux, c’est l’éducation et l’ouverture d’esprit, lesquelles m’ouvrent les yeux sur les inégalités qui règnent encore dans notre société. C’est pourquoi j’ai choisi de réserver à Centraide une part de ma succession. Je sais que cet héritage sera réinvesti équitablement dans la communauté selon les besoins des différentes régions, contribuant ainsi à une forme de philanthropie désintéressée qui équilibre les choses au lieu de creuser les écarts sociaux. »
Pierre Corriveau
Tout son parcours de vie l’a mené vers ça. Née dans un milieu modeste, on l’a recrutée pour mettre sur pied des terrains de jeux pour les jeunes de milieux défavorisés de sa région. Je crois que c’est là qu’est née sa volonté de s’impliquer socialement. Elle a été enseignante et travailleuse sociale, notamment dans le Centre-Sud. Elle aimait beaucoup son travail, elle était très dévouée pour les causes qui lui tenaient à cœur — les familles, les enfants et les personnes handicapées, notamment. En participant à des tournées de quartiers organisées par Centraide, elle avait pu voir la diversité des causes soutenues — ça l’avait profondément impressionnée et touchée. Je crois que ça a dû l’influencer positivement dans sa décision de faire un don testamentaire. Elle savait que Centraide était un organisme sérieux en lequel elle pouvait avoir confiance pour léguer son argent, et que la société en bénéficierait longtemps. »
Jean-Guy Bissonnette, ami de longue date de Mme Martineau